GUILLAUME SANJORGEProducteur Audiovisuel

L’activité professionnelle de Guillaume Sanjorge couvre différents formats audiovisuels, tels que les émissions, publicités, fictions, reportages, interviews, podcasts et contenus sur mesure. Elle s’organise autour de deux pôles complémentaires :Le premier est la Production Sanjorge, qui commercialise ses productions auprès d’entités professionnelles (plateformes, médias, marques, entreprises), lesquelles les diffusent et les exploitent via leurs propres canaux de distribution.Le second est l’Association Studio Phocéen, qui diffuse des contenus culturels destinés au grand public et s’appuie sur un réseau numérique monétisé regroupant sites web, chaînes de streaming et réseaux sociaux, contribuant au financement de son écosystème.

La presse en parle

En 2025, le quotidien canadien La Presse publie un reportage signé Mathieu Perreault sur les microséries diffusées sur téléphone, intitulé « Microséries tournées pour le téléphone : Bienvenue dans l’univers du (très) petit écran ». L’article décrit l’essor de ces fictions verticales en France et cite Guillaume Sanjorge comme producteur français engagé dans ce nouveau format, illustrant son travail par des photos de tournage.

En 2025, Morandini Blog annonçait l’arrivée d’une série française de Guillaume Sanjorge sur la plateforme asiatique Stardust TV, décrivant : « C'est une nouvelle série courte qui débarque sur la plateforme Stardust TV, une nouvelle application populaire de courts métrages verticaux qui a déjà été téléchargée plus de 5 millions de fois sur Google Play. » L’article ajoutait que « Les aventures avec ma voisine" est ainsi la première série en langue française disponible dans le catalogue de l’application asiatique Stardust TV. »

En 2020, Var-Matin rapportait un tournage dirigé par Guillaume Sanjorge sur la presqu’île du Gaou, où le décor naturel avait été transformé pour une reconstitution médiévale. L’article précisait : « Tout le monde marquait l’arrêt à l’entrée de la presqu’île du Gaou […] pour le tournage de la série télévisée Draculi et Gandolfi, réalisée par Guillaume Sanjorge. »

En 2019, le journal Sud Ouest évoquait un tournage mené par Guillaume Sanjorge, mêlant humour et univers médiéval. L’article mentionnait la participation de figurants lors des prises de vue réalisées dans un site patrimonial, la chapelle romane de Saint-Christophe.

En 2018, la Bibliothèque nationale de France (BNF) a cité Guillaume Sanjorge dans une étude consacrée aux créateurs français les plus consultés depuis l’apparition des plateformes de vidéo en ligne en 2005. Publié en 2018 et actualisé en 2024, ce travail de référence s’intitule « Des vidéos à la chaîne, un état des lieux – Parcours guidé au sein des archives de l’internet » et le mentionne à la page 66.

En 2017, Purepeople mentionnait la présence de Guillaume Sanjorge à l’ouverture du 6e Festival Les Héros de la Télé à Beausoleil.

En 2016, Télé 2 Semaines et Télé-Loisirs ont présenté une série au concept volontairement décalé, décrivant « une poignée d’individus vivant au Moyen Âge et participant à une émission de télé-réalité contemporaine ». Les deux médias soulignaient l’originalité de l’idée, « imaginée et réalisée par Guillaume Sanjorge ».

En 2016, Télécâble Sat Hebdo présentait une courte série humoristique accueillant le retour de Jean-Pierre Castaldi à la télévision, en précisant qu’il s’agissait d’une création de Guillaume Sanjorge.

En 2016, le média Toute La Culture mettait en lumière une création portée par Guillaume Sanjorge, estimant qu’il « repousse les frontières de la création bien plus loin ». L’article dressait également un portrait personnel flatteur du réalisateur, le décrivant comme « jeune, avec un sourire rayonnant, une douceur apparente », et soulignant qu’il est « intelligent et drôle, passionné par l’univers de la télévision ».

En 2012, le journal La Provence présentait une série locale inventive et singulière. L’article soulignait l’originalité du projet en rappelant que « ce scénario pour le moins original vient de l’esprit d’un Marseillais, Guillaume Sanjorge ».

En 2012, le quotidien La Marseillaise consacrait un article à une série portée par une jeune équipe marseillaise. Le journal mettait en avant l’approche artisanale, l’énergie collective et la capacité du réalisateur à fédérer autour de lui, rappelant que « Guillaume, à peine âgé de 22 ans, sait exactement où il veut aller. Grâce à sa détermination et à la simplicité de son projet, des personnalités ont rejoint l’équipe ».

En 2010, le magazine Première a relayé la sortie d’une série décrite comme « 100% française produite par le Studio Phocéen ». L’article soulignait le ton décalé et l’esprit parodique du projet, jusqu’à poser la question de savoir si « cette nouvelle génération façon Kaamelott saura convaincre une chaîne de télévision ».

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Contact

Pour consulter les informations officielles concernant les activités professionnelles de Guillaume Sanjorge, se référer aux données publiées par l’État français. Les informations relatives à son entreprise sont accessibles via l’annuaire des entreprises : Entreprise Guillaume Sanjorge. Les informations concernant l’association Studio Phocéen sont disponibles dans les annonces du Journal Officiel, incluant les mises à jour administratives : Journal Officiel – Studio Phocéen (mise à jour). La déclaration initiale de l’association peut également être consultée ici : Journal Officiel – Studio Phocéen (déclaration initiale)